LES ASTROPHYSICIENS

CNRS – Mathieu RENAUD

Astrophysicien au CNRS/IN2P3, rattaché au Laboratoire Univers et Particules de Montpellier (LUPM) depuis 2010. Il travaille notamment sur les supernovae et leurs vestiges à partir des observations prises dans le domaine gamma avec les instruments au sol tels que le réseau de télescopes Tcherenkov H.E.S.S. en Namibie et avec ceux embarqués à bord des satellites INTEGRAL (IBIS) et Fermi (LAT). Il participe également au développement de la prochaine génération de télescopes Tcherenkov CTA en cours de construction, et s’implique dans des activités d’animation et des projets de sciences participatives à La Réunion en lien avec les questions de préservation du ciel étoilé, au sein du dispositif interdisciplinaire de l’Observatoire de l’Environnement Nocturne du CNRS

CEA – Emeric LE FLOCH

Astrophysicien au CEA, rattaché à l’Institut de Recherche sur les lois Fondamentales de l’Univers (IRFU). Il travaille sur l’évolution des galaxies et les phénomènes cosmiques transitoires comme sondes de l’Univers lointain. Il est notamment impliqué dans plusieurs programmes d’étude des sursauts gamma utilisant le « Very Large Telescope » installé au Chili et le nouveau télescope spatial James Webb. Il participe aussi au développement de l’instrument METIS qui équipera le futur « Extremely Large Telescope » de l’Observatoire Européen Austral. Il enseigne l’astrophysique à l’Université de La Réunion.

LABSCAN – Anael WÜNSCHE

Astrophysicien et formateur de l’Observatoire des Baronnies Provençales. Il a passé sa thèse à l’Institut de Planétologie et d’Astrophysique de Grenoble où il aidait à chercher et caractériser les exoplanètes qui transitent devant les naines M, étoiles froides et moins massives que le Soleil. Aujourd’hui responsable du pôle recherche de l’Observatoire des Baronnies Provençales, il est également représentant pour la France du projet Exoclock-ARIEL. Ce projet vise à mieux connaître le chronométrage des transits exoplanétaires pour préparer la future mission spatiale ARIEL. Pour cela, le projet fait appel à toutes les volontés, dont des amateurs, du grand public ou des étudiants afin de réaliser des courbes de lumières. Ces courbes de photométrie sont le graal à obtenir lorsque vous voulez voir passer une exoplanète devant son étoile.

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